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Le corps comme boussole : le rôle des sensations en sophrologie

  • Photo du rédacteur: Clémence Courtois
    Clémence Courtois
  • 16 juin
  • 1 min de lecture

Dernière mise à jour : 19 juin

Et si votre corps savait exactement ce dont vous avez besoin… avant même que votre mental en prenne conscience ?


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En sophrologie, le corps n’est pas un simple véhicule : c’est un guide. Il devient une véritable boussole intérieure, capable de nous orienter vers ce qui est bon pour nous, à condition de l’écouter.


Tensions, chaleur, fourmillements, légèreté… Les sensations corporelles ne sont jamais anodines. Elles nous parlent de notre état intérieur, de nos émotions, de nos besoins. Trop souvent, on les ignore ou on les combat. Pourtant, en sophrologie, on apprend à les observer avec bienveillance, sans jugement.


Les exercices de relaxation dynamique et les visualisations permettent de développer cette écoute fine du corps. Progressivement, on se reconnecte à ses ressentis, à ce que l’on vit ici et maintenant. On renforce ainsi la conscience corporelle, un pilier essentiel pour mieux se connaître, se recentrer et prendre des décisions alignées.


Quand on commence à écouter son corps, on change de posture face à la vie. On apprend à reconnaître les signaux d’alerte du stress, à repérer ce qui nous ressource vraiment, à poser nos limites… sans attendre d’être dépassé·e.


En sophrologie, on ne cherche pas à fuir les sensations désagréables. On les accueille, on les traverse, on les transforme. Car en elles se trouvent souvent les clés de notre équilibre.


Alors la prochaine fois que vous ressentez un tiraillement dans la nuque, une boule dans le ventre ou un élan d’ouverture dans la poitrine… prenez un instant. Écoutez. Votre corps vous parle.











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